La douleur qui ne s’apaise pas : six otages retrouvés morts à Gaza
Le matin du 1er septembre a apporté de tristes nouvelles pour Israël : les corps de six otages, enlevés par les terroristes du HAMAS le 7 octobre, ont été découverts dans la bande de Gaza. Parmi les victimes, deux femmes et quatre hommes, dont les noms seront désormais inscrits dans la tragique chronique de l’histoire.
- Carmel Gat (40 ans, du kibboutz Be’eri)
- Almog Sarusi (26 ans, de Raanana)
- Ori Danino (24 ans, de Jérusalem)
- Hersh Goldberg-Polin (23 ans, de Jérusalem, citoyen d’Israël et des États-Unis)
- Eden Yerushalmi (24 ans, de Tel-Aviv)
- Alexander Lobanov (32 ans, d’Ashkelon, citoyen d’Israël et de Russie)
Ces personnes, dont les vies ont été brutalement interrompues, incarnent la douleur et la perte que le terrorisme apporte au peuple d’Israël. Leurs corps ont été trouvés le samedi 31 août, dans l’un des tunnels du HAMAS sous Rafah, une ville au sud de la bande de Gaza à la frontière avec l’Égypte.
Selon l’expertise réalisée à l’Institut de médecine légale le matin du 1er septembre, les otages ont été tués par plusieurs tirs à bout portant. Le moment du décès a été établi entre 72 et 48 heures avant l’autopsie, soit jeudi ou dans la nuit de vendredi. Cette terrible vérité rappelle une fois de plus que le terrorisme ôte la vie à des innocents, ne laissant derrière lui que douleur et vide.
Les corps des victimes ont maintenant été rendus à leurs familles, afin qu’ils puissent être pleurés et enterrés avec les honneurs qu’ils méritent. Mais cette perte n’est pas seulement celle de leurs proches, mais aussi de tout le peuple d’Israël.