Face à la menace croissante du projet nucléaire iranien, Israël a lancé une vaste attaque préventive, couvrant tout le territoire de la République islamique.

Chronique de l’attaque israélienne

Dans la nuit du 13 juin, l’armée de l’air israélienne a mené un bombardement massif sur les principaux sites de l’infrastructure militaire iranienne. Les cibles étaient des entrepôts de missiles balistiques, des centres de développement de technologies nucléaires, des positions de défense aérienne, ainsi que des convois transportant des armements stratégiques.

En même temps que l’aviation, un réseau de systèmes de combat secrets a été activé, préalablement déployé à l’intérieur de l’Iran dans le cadre d’une opération secrète menée par le Mossad au cours des derniers mois.

Réseau opérationnel du Mossad : trois phases de la guerre secrète

L’attaque a été rendue possible grâce à un travail de renseignement approfondi, permettant de localiser précisément tant les principaux spécialistes iraniens que les sites militaires. Trois opérations parallèles ont suivi :

1. Sabotage de la défense aérienne au sol : lancements mobiles du Mossad

Des groupes de commandement du Mossad dans la partie centrale de l’Iran ont déployé des armes guidées de haute précision près des systèmes de missiles antiaériens iraniens. Au début de l’attaque, les missiles ont été lancés simultanément depuis des positions à l’intérieur du pays, détruisant les éléments clés de la défense aérienne. Cela a assuré un passage sûr pour les avions israéliens plus profondément dans le territoire iranien.

2. Frappes sur la défense aérienne depuis des plateformes mobiles

La deuxième opération comprenait des systèmes d’attaque et des technologies modernes, camouflés en véhicules civils. Au moment du début de l’attaque, ces systèmes ont été mis en état d’alerte et ont détruit les installations mobiles de défense aérienne iranienne, opérant en dehors du système de défense fixe.

3. Frappes de drones sur les missiles balistiques

L’élément clé de l’opération a été l’utilisation de drones, préalablement infiltrés sur le territoire iranien. Une base secrète de drones, située près de Téhéran, a été activée au moment critique. Les drones ont détruit les lanceurs de missiles balistiques, potentiellement capables d’atteindre le territoire israélien.

Analyse : démonstration de capacités et signal à Téhéran

L’opération a été non seulement une réponse à l’échec de la diplomatie, enregistré dans le rapport de l’AIEA, mais aussi un signal aux acteurs régionaux et mondiaux : Israël est prêt à agir de manière autonome et préventive en cas de menace à son existence.

Israël démontre que ses capacités de guerre hybride incluent une combinaison de cyberattaques, d’opérations secrètes, de frappes autonomes et de campagnes aériennes ouvertes. Pour la première fois, un système aussi vaste a été déployé de manière synchronisée à plusieurs niveaux.

Les cibles comprenaient non seulement des sites d’infrastructure militaire, mais aussi des hauts représentants de l’élite militaire iranienne et du programme nucléaire, ce qui indique également la nature ciblée de l’attaque et l’accent mis sur la prévention d’une future escalade.

Réaction internationale

La communauté internationale a exprimé son inquiétude face à l’escalade du conflit. Cependant, la résolution de l’AIEA sert de base juridique et morale aux actions d’Israël. Reconnaissant l’échec des efforts diplomatiques, de nombreux pays occidentaux se sont abstenus de critiques sévères, se limitant à des appels à la désescalade.